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PATRIMOINE > LES PIGEONNIERS

La commune compte parmi son patrimoine bâti

4 pigeonniers ayant fait l’objet de remarquables restaurations. La construction d’un pigeonnier constituait une sorte de reconnaissance sociale. En effet, le fait de posséder un pigeonnier offrait le privilège indéniable de disposer d’œufs et de viande fraîche tout au long de l’année et ce, à une époque où la conservation de la viande passait par la salaison.

Le pigeonnier constituait selon Olivier De Serres « un garde-manger » perpétuel.

De plus, la fiente de pigeons, que l’on appelle colombine, était un engrais très recherché pour les cultures, notamment de lin et de chanvre.

Toutefois, la présence de ces pigeonniers causait de grands dommages aux cultures, car les oiseaux picoraient les semis des cultivateurs.

Un seul (photo) est visible au public sur le chemin de randonnée qui passe par l'impasse du Paradis.

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